En référence de la loi N ° 04/024 DU 12 novembre 2004 relative à la nationalité congolaise dans son exposé des motifs en matière de nationalité, spécialement l’Ordonnance-loi n ° 71-002 du 28 mars 1971, la Loi n ° 72 -002 du 05 janvier 1972 dans son article 15 et le Décret-loi n ° 197 du 29 janvier 1999 modifiant et complétant la Loi n ° 81002 du 29 juin 1981.
En vue de répondre aux impératifs de la modernité et des conventions internationales, la Loi fixe la problématique de la nationalité congolaise et institue deux statuts juridiques distincts en matière de nationalité congolaise, à savoir:
– la nationalité congolaise d’origine;
– la nationalité congolaise d’acquisition.
La proposition de loi modifiant la loi électorale initiée par le groupe de 13 personnalités (G13),
la modification de la loi électorale du 25 juin 2011 telle qu’elle est proposée à ce jour par les 13 personnalités ne garantit qu’en partie la confiance du processus électoral.
Les initiateurs de ladite démarche n’ont nulle part évoqué dans leur texte le problème crucial de la nationalité des acteurs censés compétir pour animer à la fin du processus des institutions de la république.
Quant à nous, la CENI devra définir et mettre en place en amont du processus électoral, les mesures nécessaires de transparence et de contrôle comme préalables à l’opération d’identification et d’enrolement des futurs électeurs par ricochet tout des principaux acteurs de nos institutions futures.
Ces mesures supplémentaires doivent impérativement commercialiser avec l’opération du recensement de la population qui leur servira de cadre juridique et de gestion des données fiables en vue de répondre au souci d’amélioration dans l’amélioration du système électoral et ce sont cela des réponses attendues par rapport aux attentes majeures et soulevées par le peuple congolais.
C’est dans ce cadre que l’équipe d’experts Congolais a déjà commencé à réfléchir autour de la thématique d’identification effective des votants et l’éligibilité de futurs dirigeants de nos institutions dans le contexte de mettre fin à la fracture sociale créée par la question de la nationalité.
L’équipe est entrain de concevoir un logiciel permettant la vérification de la nationalité congolaise d’origine et d’acquisition sur la base des ancêtres ADN. This base de données avec un moteur de traçabilité décèlera avec exactitude des régions de l’appartenance ethnique des ancêtres il y a des centaines d’années, jusqu’à environ 1 000 ans. Dans le cas précis de la RDC, l’algorithme à base de la technologie du pilier permet la recherche et la production des résultats de test de l’appartenance ethnique à temps réel.
C’est dans cette perspective heureuse que la CENI pourrait intégrer dans ses différentes articulations des normes modernes du droit telle est la question d’éligibilité des candidats, en vue d ‘
Mais, il est impérieux de solliciter un amendement de la loi électorale en ajoutant une clause définissant les processus automatiques et le pouvoir dévolu à ceux qui travaillent sur ce processus décisionnel.
Joseph KABENGELE ILUNGA / Doctorant en Finance et Technologie – FinTech de l’école des entreprises de l’Université de Lancashire et membre à la fédération UDPS / Manchester
– Consultant Expert chez IBM, Accenture, Actuellement chez DXC Technology
– Baccalauréat ès arts avec spécialisation en commerce et gestion de l université d Essex
– Licencié en Information de Gestion, au titre d’Ingénieur Concepteur
– Expert Consultant en Gestion de Projet
– Expert Certifié Consultant SAP (ERP) et système Anti-fraude
– Expert Consultant en système financier intégré avec Agresso
– Expert Consultant en Management et stratégie financière
– Ingénieur Certifié du système de réseau Microsoft (MCSE) et produits Microsoft
– Formateur Certifié d’Ingénieur Microsoft (MCT: Microsoft Certified Trainer)
