Pour l’année 2019 jusqu’à la fin du mois de novembre 2020, nous avons constaté une rivalité politique entre les acteurs, qui soutiendrait un faible taux d’accomplissement de grands programmes des réformes. Dans ce climat nous avons tenu compte des indicateurs de la performance entre politique et l’actuelle gestion administrative se basant sur de multiples variables dont les risques politiques étaient soumis à l’ensemble des activités et des résultats atteints selon les objectifs du gouvernement et de manière efficace et efficiente.
Par conséquent, nous avons pu observer l’accroissement de la performance à travers les activités du conseiller principal (CP) à L’ECOFIN du président de la République Félix Tshisekedi, Marcellin Bilomba – durant la période sous analyser, illustre une constance remarquable et, Cela justifiait le respect des objectifs dont il s’était assigné pour l’intérêt du peuple congolais selon la vision du président: Le peuple d’abord.
Deux indicateurs de performance ont été considérés comme c’est-à-dire, la productivité et la capacité à contribuer à la vision du chef et du gouvernement, ont permis à analyser les marges de progression à l’intérieur du cabinet du président dans un contexte politique difficile. Ses axes de progression pour la période peuvent être observés sur ce graphique: Les données de profil du CP sont collectées lors de l’exposition de véracités de faits, soit par les médias, et autres canaux tels que YouTube et Facebook, pour éclairer la lanterne des Congolais.
Dans un contexte économique et financier difficile où la lutte contre les anti-valeurs fait la différence, la mesure de la performance de nos gouvernants se doit d’être au cœur de nos préoccupations. En effet, est-il essentiel de fixer un sens à la notion de performance dans un environnement aussi hostile à la véracité de l’incompétence. La mesure de la performance individuelle n’a vraisemblablement jamais été autant encensée dans un pareil lieu du travail. Les indicateurs de performance choisis sont pertinents pour apprécier la création de la valeur ajoutée de l’acteur considéré.
Ces indicateurs n’ont d’autre rôle que celui d’orienter les actions dans le sens de l’accomplissement de la stratégie telle qu’elle a été définie par la hiérarchie. Cependant, le dévoiement de la stratégie est intrinsèquement lié à l’essor de l’absurde de la culture du résultat. Dans ce contexte, lorsque la performance est matérialisée par un indicateur, c’est l’information portée par l’indicateur qui est l’expression respectueuse de la responsabilité et du contrat social avec les contribuables.
Par Joseph D.KABENGELE ILUNGA / Doctorant en FIN-TECH