Les questions humanitaires ont été au centre des échanges entre le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Daniel Aselo Okito wa Koy mercredi, dans son cabinet de travail avec une délégation de l’office des Nations Unies pour les crimes (ONUDC) et celle du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en RDC.
La délégation de l’ONUDC a, après avoir présenté des civilités au un de la sécurité nationale, présenté d’autres son programme qui concerne, entre, la traite des personnes, l’anti-corruption, la lutte contre les stupéfiants, les terroristes et le trafic des espèces protégées.
Pour Meta Kasanda, coordinatrice de l’agence pour la prévention et la lutte contre la traite des personnes (APLTP), qui a conduit cette délégation, il s’agit d’un domaine qui intéresse au plus haut niveau le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur car, son ministère étant un ministère clé pour la mission que va mener l’ONUDC en RDC.
De son, le patron de la Territoriale s’est dit très prévu à côté avec cette agence onusienne qui, dès ce 10 juin 2021, ouvre une réunion stratégique avec le gouvernement.
Après avoir présenté à son tour des civilités, le Comité international de la Croix-Rouge, CICR, représenté par Yannick Buchli et Steve Bonaventure, successment Chef de délégation adjoint et coordinateur protection de cette organisation humanitaire, s’est, quant à lui, appesanti sur les activités humanitaires qui se déroulent dans l’Est du Congo.
Avec le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, ils ont échangé sur des aspects humanitaires en lien avec le mandat du CICR en RDC.
Des échanges très fructueux et positifs, a assuré le chef adjoint de la délégation du CICR, tout en mettant l’accent sur la confidentialité qui est le mode opératoire du CICR.
Acp
